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. Carte GEODES - GEO DONNEES EN SANTE PUBLIQUE (Santé Publique France) Taux d'incidence par commune. Mise à jour hebdomadaire . . https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus .. . ![]() . Mise à jour 16 septembre 2023 . TousAntiCovid : l'application est-elle encore utile ou peut-on la supprimer de son téléphone ? Covid : une nouvelle campagne de vaccination lancée ce jeudi, êtes-vous concerné par ce rappel ? TousAntiCovid : l'application désactive la détection automatique de cas contacts par Bluetooth 9e vague de Covid : il pourrait s'agir de la dernière mais ce n'est pas forcément une bonne nouvelle Puis-je me faire vacciner contre la grippe saisonnière et la Covid en même temps ? Covid : ce que l'on sait de l'équipe "commando" qui succède au Conseil scientifique .
Sources : articles parus dans divers journaux 16 septembre . .
Covid-19 : la campagne de vaccination avancée de 15
jours pour protéger les personnes les plus
fragiles
Covid-19 : date, personnes ciblées… ce qu’il faut
savoir sur la campagne de vaccination prévue
pour l’automne Dès octobre, elle ciblera les personnes les plus à risques, mais restera ouverte à toutes celles qui le souhaitent, la seule condition étant de respecter un délai minimum de six mois après la dernière injection ou infection. Le virus n'a pas disparu. En ce mois d'août, les services de santé enregistrent une légère recrudescence des cas de Covid-19 en France. Les chiffres sont loin d'atteindre les niveaux connus lors des pics de contaminations mais ils montrent que le virus circule toujours sur le territoire. "Le virus continue de circuler dans tous les pays, de tuer et de changer ", a affirmé le 9 août dernier Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), repris par nos confrères de BFMTV. Pour poursuivre leur lutte contre le Covid-19, les autorités sanitaires ont donc prévu une nouvelle campagne de vaccination pour l’automne. Dès le 17 octobre prochain La campagne vaccinale automnale commencera à partir du 6 septembre à Mayotte et le 17 octobre en France métropolitaine, en Guadeloupe, en Martinique et en Guyane, indique un bulletin de la direction générale de la santé (DGS). Au vu des derniers chiffres épidémiques relativement faibles, les dates de ce plan devraient être maintenues. Pour les plus fragiles Cette campagne de vaccination se concentrera sur les personnes les plus à risques, notamment les plus de 65 ans, les femmes enceintes, et les personnes ayant des comorbidités (diabète, obésité, maladies chroniques). Le personnel de santé est également appelé à se faire vacciner. Les personnes atteintes de troubles psychiatriques, de démence ou de trisomie 21 sont également concernées. Les personnes de rentrant pas dans ces critères peuvent également se faire vacciner. La campagne de vaccination du Covid-19 sera couplée avec celle contre la grippe, qui vise les mêmes personnes à risque. Quels vaccins utilisés ? Il faut encore distinguer les non-vaccinés des vaccinés. Selon nos confrères du Courrier picard, pour la primo-vaccination, deux vaccins sont disponibles : les trois vaccins monovalents de Pfizer pour les enfants âgés entre 6 mois et 4 ans, les 5-11 ans et les plus de 12 ans. Le vaccin Novavax pour les plus de 12 ans. Pour le rappel, la Haute Autorité de santé dispose de quatre vaccins : Pfizer bivalents pour les plus de 12 ans, le Moderna bivalent pour les plus de 30 ans, le Novavax pour les plus de 12 ans et le Sanofi pour les plus de 18 ans. Par ailleurs, alors qu'un nouveau sous-variant du virus, dénommé Eris, est en circulation, ces deux laboratoires ainsi que Novavax mettent au point un nouveau vaccin capable de le cibler précisément. Il devrait être disponible à partir du mois de septembre. Qui pourra vacciner ? En plus des médecins libéraux, "les pharmaciens et les infirmiers pourront désormais administrer le vaccin contre la grippe saisonnière aux personnes âgées de 11 ans et plus ", détaille Nord Littoral. Et pour mobiliser le maximum de personnel et "ne manquer aucune opportunité de co-administration des vaccins contre le Covid-19 et la grippe, les préparateurs en pharmacie et les étudiants en deuxième et troisième cycles courts de pharmacie peuvent, sous certaines conditions, en plus de l’administration des vaccins contre le Covid-19, administrer les vaccins contre la grippe en pharmacie"
Contagiosité, dangerosité... ce que l'on sait
d'Eris, la nouvelle souche de Covid qui circule
de plus en plus Mircea Sofonea, maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses à l'Université de Montpellier, décrypte les enjeux posés par l'émergence du nouveau variant du Covid, à "surveiller " pour l'Organisation mondiale de la santé qui suit son évolution depuis le 19 juillet. Faut-il s'inquiéter de l'émergence du nouveau virus du Covid, Eris, dont l'évolution est suivie avec attention par l'Organisation mondiale de la santé depuis le 15 juillet dernier ? L'épidémiologiste montpelliérain Mircea Sofonea explique ce que l'on sait du virus. Un tiers des séquençages ? "Il y a des biais dont on ne connaît pas l'amplitude"
Selon la plateforme de données Gisaid, le
variant Eris représente désormais 35 % des
séquençages en France, dans un contexte de
progression du nombre de cas de Covid.
TousAntiCovid : l'application est-elle encore
utile ou peut-on la supprimer de son téléphone ? Lancée à l'automne 2020 dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de Covid-19, l'application TousAntiCovid ne sera plus mise à jour et la quasi-totalité de ses fonctionnalités abandonnée à compter de ce vendredi 30 juin. Pour autant, elle peut rester utile pour accéder facilement à ses certificats de vaccin. C'est officiel, l'application TousAntiCoivid se met en "pause". Il a en effet été décrété que ses objectifs initiaux ont tous été parfaitement remplis, de la mise à disposition d'informations et de statistiques sur l'épidémie au traçage et accompagnement des cas contact en passant par le stockage des certificats sanitaires. 60 millions d'installations Dès lors, sa seule utilité résidera désormais dans l'accès à son carnet, où sont stockés ses certificats de test et de vaccination. Si vous souhaitez néanmoins supprimer l'application de votre smartphone, pensez à bien garder avec vous ces certificats, soit dans un format numérique (document PDF ou simple photo), soit en les imprimant. Heureusement, dans tous les cas, vous pourrez toujours les récupérer sur le portail de l’Assurance maladie. Depuis son lancement, TousAntiCovid a été téléchargé et installé plus de 60 millions de fois. S'il n'est donc clairement plus indispensable de conserver son application, elle peut néanmoins se révéler toujours utile en cas de besoin. En espérant qu'elle ne connaisse pas une seconde vie à cause d'un nouvel épisode épidémique...
Covid : une nouvelle campagne de vaccination
lancée ce jeudi, êtes-vous concerné par ce
rappel ? Une nouvelle campagne de rappel vaccinal contre le Covid-19 débute ce jeudi 27 avril. Elle concerne un public bien précis. On fait le point sur comment s'organise cette campagne et qui est ciblé. Une nouvelle campagne de vaccination contre le Covid-19, mais qui ne concerne pas tout le monde. "La protection immunitaire décroît plus rapidement dans le temps chez certaines catégories de personnes, les exposant davantage au risque de faire une forme grave de Covid-19 ", note la direction générale de la Santé ce mardi 25 avril dans un communiqué. Qui est concerné ? Ainsi cette campagne de vaccination qui s'ouvre ce jeudi 27 avril, durera jusqu'au 16 juin.
Elle concerne Les personnes immunodéprimées Les résidents des EHPAD et USLD, quel que soit leur âge
Les personnes à très haut risque de forme grave
selon chaque situation médicale individuelle et
dans le cadre d’une décision partagée avec
l’équipe soignante. En revanche "si une personne n’est pas dans la cible et souhaite recevoir un rappel, elle pourra en bénéficier gratuitement ", rappelle le document.
Fin du remboursement des tests Covid : la
Sécurité sociale va progressivement baisser sa
prise en charge à partir de mars Un décret paru le 27 février au journal officiel pose que le dépistage au Covid sera de moins en moins pris en charge par la sécurité sociale. On fait le point sur cette évolution. Vers la fin de la gratuité des tests covid ? Un décret paru au Journal officiel ce 27 février explique que "face à l'amélioration de la situation sanitaire", de nouvelles règles concernant la prise en charge du dépistage s'appliqueront à partir du 1er mars. Fin des tests gratuits ? Si jusqu'à maintenant, les personnes présentant un schéma vaccinal complet, une ordonnance ou un certificat de rétablissement pouvaient être exonérées de frais quand elles se faisaient tester pour le covid, cette prise en charge systématique s'arrêtera le 1er mars. Après trois ans de prise en charge, les tests devront être financés par les patients, en fonction du médecin prescripteur de la procédure. Qu'il s'agisse de tests PQR ou antigéniques, il faudra désormais payer un reste à charge plus ou moins élevé selon les circonstances. Réalisé chez un médecin ou pharmacien, cet examen d'aiguillage coûtera 30 % du prix d'un test et 40 % si c'est un infirmier, un masseur ou un kinésithérapeute qui s'en charge. Exceptions Par ailleurs, précise le Journal officiel : "Pour la très grande majorité des assurés qui disposent d'une couverture complémentaire, le reste à charge sera nul ". En 2019, près de 95 % des Français avaient une mutuelle, rappelle la Tribune. Ainsi, pour ces patients, la part n'étant prise en charge par l'Assurance maladie le sera grâce à leur complémentaire santé. De plus, les personnels de santé, les personnes les plus fragiles, ayant plus de 65 ans ou encore étant touchées par une affection longue durée seront pris en charge malgré tout sans devoir avancer de frais. Jusqu'à fin 2022, plusieurs centaines de milliers de tests étaient réalisées chaque jour. Aujourd'hui, ces chiffres ont baissé et se stabilisent à quelques dizaines de milliers de tests, au plus bas depuis le pic de l'été 2022. En 2020, rappelle le Figaro, la campagne de tests avait coûté entre 2.6 et 2.8 milliards d'euros, et jusqu'à 6 milliards d'euros en 2021.
Covid : attention, à partir de ce mercredi, si
vous êtes positif, l'arrêt maladie ne sera plus
automatique Un décret paru ce samedi au Journal Officiel met un terme, à compter du 1er février, à la délivrance d'arrêts de travail dérogatoires aux assurés se trouvant dans l'impossibilité de continuer à travailler. Un test positif au Covid ne déclenchera plus automatiquement un arrêt de travail. Un décret, publié ce samedi 28 janvier dans le Journal Officiel, met fin à cette pratique instituée pour limiter la propagation de l'épidémie. "Le décret met un terme, à compter du 1er février 2023, à la délivrance d'arrêts de travail dérogatoires aux assurés se trouvant dans l'impossibilité de continuer à travailler, y compris à distance, en cas de contamination par la covid-19 établie par un examen inscrit à la nomenclature des actes de biologie médicale", indique ainsi le texte officiel. Toutefois, en cas de symptômes avérés et d'un test positif, les salariés pourront se voir prescrire un arrêt de travail par leur médecin généraliste après consultation. Un net reflux de l'épidémie
Cette décision intervient au moment où
l'épidémie recule fortement en France, un mois
après la neuvième vague qui avait touché le
pays. Le taux d’incidence (nombre de cas
positifs pour 100 000 habitants sur les sept
derniers jours) est ainsi retombé sous la barre
des 50 (48 précisément), soit en dessous du
premier seuil d’alerte. Et le taux de production
du virus est depuis plusieurs semaines en
dessous de 1, autre signe d'un net reflux de
l’épidémie. Enfin, le taux de positivité (la
proportion de tests positifs) s'élève à 6,26 %
et a rarement été aussi bas. En revanche, toujours selon le Journal Officiel, les mesures imposées aux passagers en provenance de Chine (c'est-à-dire un test négatif obligatoire avant le départ, un test possible à l'arrivée, et le masque obligatoire à bord), prévues jusqu'au 31 janvier, sont prolongées jusqu'au 15 février.
TousAntiCovid : l'application désactive la
détection automatique de cas contacts par
Bluetooth La détection de cas contact, fonctionnalité décriée par les détracteurs de TousAntiCovid, est désactivée par défaut de l'application depuis ce jeudi 26 décembre. Le "contact tracing", c'est de l'histoire ancienne. Cette fonctionnalité, présente sur l'application TousAntiCovid, qui permettait de géolocaliser les cas contact présents dans son entourage par Bluetooth, est désormais désactivée depuis ce mercredi 25 janvier. Ce sont les développeurs de l’application qui le confirment à nos confrères de BFMTV. À l’origine, cette fonctionnalité était quelque peu été décriée par les détracteurs de l'application qui craignaient qu'elle soit un danger pour les libertés. Régime d'exception
Le gouvernement avait alors promis que la mise en
place du "contact tracing" n’était que
temporaire et qu'elle intervenait dans le cadre
d'un régime d'exception créé pour lutter contre
l'épidémie de Covid-19.
Covid : qu'est-ce que le nouveau vaccin bivalent de Moderna et Pfizer, quelle
efficacité, pour qui, pour quand ? Des vaccins anti-Covid "nouvelle génération" devraient servir pour la campagne vaccinale qui va débuter à l'automne en France. Ils sont annoncés comme les vaccins "nouvelle génération" anti-Covid qui vont permettre de lutter plus efficacement contre la pandémie. Des vaccins bivalents qui s'attaquent à la fois à la souche ancestrale du virus responsable du Covid et de son variant Omicron pour une protection supérieure et durable. La fameuse technologie à ARN messager
Moderna comme Pfizer ont utilisé une fois encore la technologie de l'ARN
messager qui permet d'injecter des copies du virus mais complètement
inoffensive dans les cellules pour qu'elles transmettent les informations
afin de permettre de produire des protéines dans le but de se protéger du
Covid.
Mais le virus ayant muté, il était donc nécessaire d'adapter le vaccin aux
variants d'Omicron (ce qui n'était pas le cas jusque-là), pour qu'il soit
d'autant plus efficace en ciblant les variants qui sont dominants et qui
circulent.
Les résultats qui découlent des données sont probants. Alors que le vaccin
bivalent a été, à la base, fabriqué avec la souche BA.1 d'Omicron, le sérum
est très efficace sur le BA.1 (qui n'est plus celui dominant en France),
mais aussi selon Arnaud Chéret directeur médical Moderna France sur les
variants BA.4 et BA.5.
Les deux vaccins bivalents proposés par Moderna et Pfizer ciblant le
sous-variant BA.1 ont été, le 1er septembre derniers, autorisés par l'Agence
européenne du médicament, l'EMA.
Sandra Fournier, la directrice générale France de Moderna l'a annoncé ce
mercredi 14 septembre : "Tout est prêt. Les doses sont sur le territoire
français. Il n'y a plus qu'à attendre l'autorisation de la Haute autorité de
Santé, pour que les doses soient livrées très rapidement dans les
pharmacies."
Dans l'avis du 19 juillet du Conseil scientifique, cette vaccination "pourrait
être ouverte aux moins de 60 ans à partir de l'automne".
Quid des rappels... Combien est-il prévu de rappels de ces vaccins ?
D'ailleurs pour faciliter les rappels, Moderna a déjà bien avancé sur un
prochain vaccin combinant la protection contre la grippe et contre le virus
du Covid.
Rappelons que fin août, Moderna a porté plainte contre Pfizer pour violation
de brevet sur des technologies essentielles à son vaccin à ARN messager
contre le Covid-19. . Dans un communiqué, le laboratoire précise : "Moderna
est convaincu que le vaccin Comirnaty de Pfizer et BioNTech contre le
Covid-19 contrevient à des brevets déposés par Moderna entre 2010 et 2016".
Covid : ce que l'on sait de l'équipe "commando" qui succède au Conseil
scientifique. Ce lundi 1er août marque la naissance du "comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires" dédié à de nouveaux risques sanitaires en France. Il succède au Conseil scientifique dissolu ce dimanche 31 juillet. Le Conseil scientifique, c'est fini. Crée par un décret paru dans le Journal officiel de ce dimanche 31 juillet, un "comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires" succède à l'organisation consultative indépendante à partir de ce lundi 1er août. Mais quel est le rôle de cette nouvelle autorité sanitaire ? De qui est-elle composée ? Voici les questions auxquelles on répond. Comment est composé ce comité ?
Il sera formé de 19 membres, "dont les noms seront communiqués dans les
prochains jours", indique La Dépêche, à partir d'un échange entre le
cabinet du ministre de la Santé François Braun à l'AFP. Certains membres du
précédent Conseil scientifique pourront éventuellement faire leur retour au
sein de ce nouveau comité, à l'exception de Jean-François Delfraissy. Il a
décidé de continuer sa mission de président du Comité consultatif national
d'éthique.
Ce comité a la tâche, identique au Conseil scientifique, de partager
publiquement ses recommandations dans différentes situations liées à un "risque
sanitaire", d'après le décret. Mais à l'inverse de son prédécesseur,
cette nouvelle autorité sanitaire ne dépend pas seulement du suivi du
Covid-19, "vu les risques d'émergence d'autres virus", a souligné le
ministre de la Santé sur Franceinfo le 27 juillet. Celui-ci avait d'ailleurs
précisé au cours du même entretien que le comité serait "indépendant,
transparent dans ses avis et extrêmement réactif " et qu'il
ressemblerait à "une équipe commando de scientifiques de très haut niveau".
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